DD a écrit: Oui, j'aurai bien aimé, ce doit ètre émouvant quelque part de voir un arbre et de se dire, c'est "mon" arbre. Mais comme je le disais, mon père m'a appris cette ancienne tradition il y a seulement quelques jours.
Dommage, mais tu peux continuer cette tradition avec tes petits-enfants... Tu te rends compte, un arbuste dans un coin du jardin que le petit viendra arroser quand il viendra te voir, que tu entretiendras soigneusement en son absence... une réelle complicité avec l'enfant !
DD a écrit:Personellement, j'ai coupé beaucoup d'arbres, et j'en ai planté aussi beaucoup. Je serai bien en peine d'en choisir un plutot qu'un autre.
Il suffit de se renseigner auprès d'un horticulteur et choisir, de préférence, un arbre nain qui ne prendra pas trop de place (sauf si la place ne manque pas).
DD a écrit:Et depuis, cette petite plante se reproduit au hasard des circonstances, faisant un tapis par-ci, garnissant une fissure par là. Et j'ai presque un sentiment de culpabilité quand je dois éclaircir des endroits ou elle est mal venue !
Et tout çà a partir d'un pied unique. A quoi çà tient, pas vrai ?
A quoi ça tient, oui. On est romantique ou on ne l'est pas...
Je me souviens, quand j'ai commencé à travailler dans la société où je suis encore après plus de 30 ans, il y avait un cactus (Aloé Véra) sur le rebord de la fenêtre. Je n'ai pas la "main verte" mais je l'ai arrosé... quand j'y pensais. Il a grandi, a eu des pousses, gênait parfois par sa taille alors, j'ai de ses pousses pour les transplanter. Ce cactus, ou plutôt ses rejetons vivent encore aujourd'hui : tantôt trop arrosés, tantôt trop peu, il y toujours eu un suivi et j'en suis ravie. Peut-être s'éteindront-il après mon départ car je ne suis pas certaine que d'autres y attachent un intérêt.